Au service de la mémoire
Je m’appelle Vincent Dusseau. Je suis écrivain et biographe à Montpellier.
Ancien journaliste professionnel (carte de presse n°89149), responsable d’un magazine édité à 145 000 exemplaires puis directeur de la communication d’une institution… je me concentre désormais sur ce que j’aime : raconter la vie des gens !
Grâce aux centaines d’interviews que j’ai menés pendant ma carrière, je sais m’adapter en douceur à mon interlocuteur. Certains sont plus sensibles à un entretien semi-directif, d’autres préfèrent les relances fermées : ne vous inquiétez pas, vous ne vous apercevrez de rien, c’est ma cuisine interne !
Ma ligne de conduite permanente : bienveillance, écoute totale et absence complète de jugement.
De journaliste à écrivain biographe
Diplôme supérieur de sociologie, école de journalisme prestigieuse (le CFPJ), premier poste dans la presse quotidienne : mes premières années dans la vie active suivent une voix très classique… mais passionnante !
Premier journaliste web pour le quotidien du sud Midi Libre, je parcours la région pour couvrir en direct les événements. Je suis sur tous les fronts : manifestation à Montpellier, matches de rugby à Perpignan et de foot à Montpellier, procès Bové à Millau, visite du Dalaï Lama sur le Larzac, grand prix cycliste Midi Libre…
Puis la vie m’emmène en Ardèche où je deviens pendant quelques années professeur des écoles (oui, c’est une parenthèse étrange mais très forte !). J’en profite pour écrire une pièce de théâtre, La folle sagesse du bonheur. Elle sera jouée en Ardèche et dans le Gard.
J’intègre le Conseil Départemental comme responsable éditorial. Je pilote le rédactionnel des différentes publications dont le magazine édité à 145 000 exemplaires. Je reste néanmoins attaché au terrain : je pars en reportage ou en interview le plus souvent possible !
Enfin, je réintègre mon sud natal comme directeur de la communication d’une ville de 14 000 habitants proche de Montpellier. Pendant presque dix ans, j’écris le magazine quasiment tout seul car, définitivement, c’est cela que je préfère !
Lassitude du salariat et envie de liberté me pousse à m’établir à mon compte pour faire ce que j’aime : raconter des histoires. Et je ne regrette pas du tout mon choix !